Nepal's earthquake disaster: Two years later
Already two years have passed since the Gorkha and Dolakha earthquakes in 2015, which killed nearly 9,000 people and injured nearly 22,000. Today, the situation is still difficult in Nepal and the annual monsoon doesn't help to improve it.
Deux ans ont déjà passé depuis les séismes de Gorkha et de Dolakha. Cette série de séismes qui a frappé le Népal en 2015, a coûté la vie à près de 9 000 personnes et en a blessé plus de 22 000. Aujourd'hui, la situation reste délicate, et la mousson annuelle n'aide pas à améliorer les choses.
According to a recent post in the Nepali Times, the numbers clearly show how delicate the situation is today :
D'après un récent article du Nepali Times, les chiffres démontrent la difficulté que connaît encore aujourd'hui le Népal :
"More than two years after the earthquakes of 2015, most people whose houses were heavily damaged or destroyed still haven’t started rebuilding. The figure is 50% or greater in all districts except for Gorkha (48%), Syangja (33%) and Solukhumbu, where an incredible 91% have begun the task, found early results of the fourth survey in a series led by The Asia Foundation. Other results are equally shocking. For instance, 23% of people in the 11 earthquake-affected districts were still living in temporary shelters. In Sindhupalchok the figure was 84%. At the other end of the scale was Lamjung (1%)."
"Plus de deux ans après les tremblements de terre de 2015, la plupart des gens dont leur maison a été détruite ou endommagé n'ont pas encore pu entamer les reconstructions. C'est le cas pour à peu près 50% des habitants touchés voire plus dans tous les districts sauf pour Gorkha (48%), Syangja (33%) et Solukhumbu, où avec chance 91% ont commencé la tâche, d'après une nouvelle étude (la quatrième depuis le séisme) menée par The Asia Foundation. D'autres résultats sont tout aussi choquants. Par exemple, 23% des habitants des 11 districts affectés par le séismes vivent toujours, au moment de l'étude, dans des abris de fortune. A Sindhupalchok, cela concerne 84% de personnes. Pour les meilleurs chiffres, il faut aller à Lamjung où ce ne sont que 1% des habitants."
CPCS works to improve the situation in the district of Dolakha, where the situation is similar. The region of Dolakha has been seriously affected by the earthquake. Today, we provide a continuous help to 500 families and 12 schools. Indeed, even if the situation remains serious, we want the children to stay in their family and not to choose the street. The street is always a terrible solution, but some children could be tempted to flee the rural poverty. This is why our work is more than ever essential.
CPCS travaille pour améliorer la situation dans le district de Dolakha, où la situation est similaire. La région de Dolakha a été fortement frappée par le séisme de 2015. Aujourd'hui, nous aidons en continu près de 500 familles et 12 écoles. Même si la situation reste difficile, nous souhaitons absolument que les enfants restent dans leur famille plutôt que de choisir la vie en rue. La rue est toujours une terrible solution, mais certains enfants peuvent être tentés de la rejoindre pour fuir la pauvreté rurale. C'est pourquoi notre travail est plus que jamais essentiel.
Since April 2015, Nepal has suffered from harsh winters and two heavy monsoons (since this week, the situation is critical in our center in Dolakha), and a terrible figure doesn't lie : 80% of the 500,000 destroyed houses have not been rebuilt yet.
Depuis avril 2015, le Népal a souffert de deux hivers rigoureux et de deux très fortes moussons (cette semaine, la situation est devenue critique dans notre centre de Dolakha), et un chiffre dramatique ne ment pas sur la situation : 80% des 500 000 maisons détruites lors du séisme n'ont toujours pas été reconstruites.
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Source picture 3 : CNN.com
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